Le 28 octobre dernier, une passagère française a été débarquée, ainsi que d’autres témoins, d’un vol Aigle Azur à destination de Bamako, pour avoir protesté contre le traitement dégradant infligé à un homme manifestement en train d’être expulsé violemment contre son gré. Elle croyait à tort qu’au pays des droits de l’homme la liberté d’expression (et celle d’indignation) était un acquis. En conséquence, c’est au porte-monnaie qu’on la frappera ensuite, la forçant à acheter un nouveau billet auprès d’une autre compagnie pour pouvoir prendre part aux Rencontres photographiques qui se tiennent actuellement à Bamako. Lisez plutôt son récit hallucinant.
Vendredi 28 octobre 2011. Vol Aigle Azur ZI 0521. 15h20 : le Commandant de bord nous souhaite la (…) +




